; Cause we don't need anything else but love, to LIGHT THE WAY.

Exp. 6.2.6, carnet de bord n°1 ; Les cobayes & taupes. (pp. 01-102)

; Cause we don't need anything else but love, to LIGHT THE WAY. Rob_is36

I. Fiche d'observation

Expérience 6.2.6, Sujet n°32.

Etat Civil :

Lucas Delaney, 21 ans, Américain

Lieu d'Habitation :

Principales caractéristiques :

Le sujet n°32 semble définitivement n'être pas né à la bonne époque. En effet, tout chez elle le révolte, le dégoûte et le fait se sentir à part, marginal. En effet, Lucas Delaney n'est ni matérialiste, ni individualiste et crache bien volontiers sur le consumérisme ambiant qui, à son sens, ne fait qu'infantiliser l'Homme afin qu'il court gaiement à sa perte. Oui, ce sujet là est loin d'être optimiste. Pourtant, selon ses dires, il n'est pas pessimiste, loin de là. Simplement réaliste, le monde n'est malheureusement pas beau et croire le contraire pourrait ressembler à de la bêtise. Bien trop lucide, il se montre souvent blessant, parce que sincère à l'extrême. D'ailleurs, Lucas est souvent excessif et chacun de ses traits de caractère est anormalement développé, et amplifié, bien moins que chez le sujet n°7, néanmoins, Anabel. Jeune homme torturé, son exutoire est la musique. Talentueux, il compose et écrit chacune de ses chansons, dont les textes sont à la fois lancinants, peu joyeux mais extrêmement poétiques et beaux, tout simplement. Il a, adolescent, longuement désiré faire carrière dansa le milieu, mais il considère maintenant que ce n'est pas fait pour lui. Signer un contrat, supporter une maison de disques, devenir... célèbre (?) et gagner de l'argent, tout ça, ça ne l'intéresse pas. C'est tellement éloigné de qui il est réellement, et de ses aspirations. Voilà pourquoi écrit d'abord pour lui, afin de poser des mots sur ce qu'il ressent. Il aime néanmoins se produire dans les bars miteux qu'il fréquente et si sa musique est perçue à sa juste valeur par d'autres paumés dans son genre, il n'en est que plus heureux et satisfait, même si pour lui, on ne doit pas apporter plus de valeur à l'Art qu'il n'en a réellement. Passionné, le jeune homme refuse de se compromettre, et ce, dans tous les domaines. Même payer le loyer de son studio miteux à tendance à le révulser puisque ça l'ancre dans le système. Néanmoins, il n'est pas un marginal et se doit d'avoir le minimum vital. Pourtant, il se refuse d'avoir une carte bleue, un chéquier et même un compte en banque. Lucas dénigre la plupart des choses qui feraient de lui un numéro supplémentaire, parce qu'il est très attaché aux personnalités et aux identités. Il est aussi aisément charmé par une personnalité attrayante que par un physique, d'ailleurs. Il a cette vision romanesque et dépassée de l'amour, et ce n'est pas sa fierté qui l'arrête. En amour, il donne tout, et ne demande rien en retour. Être fier ou orgeuilleux, c'est une entrave, et un comportement nocif qui découle de leur société ravagée. Comme Jean Jacques Rousseau, il estime que l'homme est naturellement bon, mais que c'est la société qui le pervertit, et cette situation s'apparente particulièrement bien à cette époque mauvaise au possible. Impulsif, ce sujet l'est : il ne réfléchit jamais aux conséquences de ses actes, puisqu'elles n'ont aucune espèce d'importance pour lui. Lucas préfère profiter de chaque moment de sa vie sans se freiner inutilement afin de ne rien en regretter. Ce côté entier, passionné et sincère lui joue parfois des tours : estimant que l'amour est le seul sentiment humain qui vaille réellement la peine que l'on se rende fou pour, il est régulièrement dévasté par des ruptures désastreuses, et en général, sa peine est à la hauteur de sa passion ardente. Pour résumer, ce sujet là dispose d'une psychologie très intéressante, qui le rend fouguex et instable. Il refuse le conformisme ambiant et ne se plaît pas dans le monde dans lequel il vit, d'où son caractère parfois tortueux et son réalisme blessant. C'est un homme altruiste aux valeurs dépassées, pour qui être un homme bon est une fin en soi, et aider les autres de n'importe quelle façon, une priorité.

Observations :

L'amour est un vaste sujet pour Lucas. Aussi loin qu'il se souvienne, il fut obsédé par ce sentiment impossible à définir, mais qui lui offrait les émotions les plus grisantes qui soient. Doté d'une excellente culture - puisque, rappelons le, pour lui la valeur d'un homme est mille fois supérieure à ce qu'il possède ou à son apparence -, ce sujet s'est enivré de recueils de poésie sur l'amour, les vers de Rimbaud ou Appollinaire le transcendant presque. Les chansons & les livres d'une autre époque avaient également une importance primordiale et toutes ces histoires passionnelles l'ont nourries jusqu'à l'adolescence, où il cessa enfin de les contempler pour les vivre, et les retranscrire lui même en chanson, au moyen de sa fidèle guitare. Malgré son physique particulier, pas forcément canon mais dégageant énormément de charme, Lucas a été bien plus souvent quitté qu'il ne l'a fait lui même, et chacune de ses ruptures fut dévastatrice, influant sur son moral déjà rarement au beau fixe. L'amour le fait vivre, l'Amour le fait se sentir vivant. L'Amour lui offre des palpitations au coeur, un désir ardent dans le bas ventre & surtout la PASSION aussi inouïe que violente. Mais l'Amour est aussi cruel qu'il est beau, et lui reprend souvent tout. Ses histoires de lycéen furent désastreuses pour lui, puisque ses petites amies lui reprochaient souvent de trop aimer. Comment trop aimer, se donner entièrement à l'autre pouvait être un reproche ? Malgré le recul, Lucas ne l'a jamais compris et estime qu'il disposait d'une maturité sur le sujet que ces filles ne possédaient pas... En effet, rares sont les personnes comme lui, qui osent tout par amour, qui ne refuse rien à ce sentiment et qui surtout, ne l'entravent pas par des barrières inutiles. Dès qu'il s'agit d'amour, ce sujet oublie tout. Il fonce, ne pensant qu'au bonheur aussi fort que fugace qui le transcende. Comme si, d'un coup, la Terre devenait moins terne, moins triste, moins laide. L'amour a cet incroyable pouvoir de rendre les hommes meilleurs, et c'est, au fond, la raison pour laquelle l'éternel réaliste - pour ne pas dire pessimiste qu'il est - s'attache tant à ce sentiment puissant.

Si l'on suit cette logique, on pourrait s'imaginer que la sujet n°7 est idéale pour lui. En effet, Anabel dispose d'une philosophie de la vie destructrice, certes, mais différente de celle de la majorité des moutons. Elle est marginale, excessive en tous points, et ne se sent vivre que lorsqu'elle aime. Au début de leur relation, Lucas était persuadée qu'elle était la femme de sa vie, littéralement. Elle avait vu dans ses chanson tout ce qu'il avait voulu y retrancrire, et même plus. Presque son âme. Sa culture était impressionnante, et ils semblaient comme connectés. Il n'en fallait pas plus à Lucas pour se lancer à corps perdu dans cette nouvelle relation, qui ne manquait pas de fougue, ni de rebondissements. Pourtant, Lucas ne l'aime pas. Il aurait voulu, mais non. Il manquait quelque chose. LE truc. Le jeune homme étant sincère au possible, il ne peut pas continuer une relation sur cette base néfaste, alors il profite de l'arrivée de sa professeur de littérature dans sa vie pour quitter Anabel, la laissant dévastée. Pourtant, quelques mois plus tard, c'est vers elle qu'il revient s'échouer, lui même anéanti par son histoire avec Janis. Contre toute attente, Anabel ne lui offrit aucune scène de ménage, et se contenta de le reprendre. Comme ça, aussi facilement. Avec cette relation vouée à l'échec, il espère oublier l'objet de ses désirs. Pourtant, le sujet n°7 semble encore moins modéré depuis qu'elle est revenue dans la vie de Lucas, et de plus en plus désaxée. Il semble pâtir de ses crises de larmes, et de son côté collant souvent envahissant. Bien que considérant l'honnêteté comme l'une des vertus les plus indispensables, Lucas ne semble pas être prêt à la détruire encore davantage en la quittant une nouvelle fois. Parce que faire du mal de façon consciente est bien trop difficile pour lui, certes, et également parce qu'aussi excessive soit-elle, Anabel l'aide à remonter la pente après une rupture douloureuse, bien qu'il ne ressentira jamais pour elle, ce qu'elle ressent pour lui...

Et pour cause, son coeur, son corps et son esprit entier sont déjà pris. Par qui ? Janis Foreman, trentenaire, ex-professeur de littérature. Il ne fallut qu'un seul et unique cours à Lucas pour qu'il soit fasciné par elle. Littéralement. Il buvait ses paroles et les trouvait pleines de sens. Cette femme ne semblait pas comme toutes les autres épouses possédant le bonheur illusoire d'un foyer, d'un mari et sûrement d'un enfant. Pas encore aigrie. Chaque jour, Lucas la rejoignait pour converser avec elle des livres étudiés, avec son esprit différent mais brillant. Il ne la baratinait pas, mais se livrait avec une sincérité déconcertante, ce qui finit par charmer Janis - qui avait un besoin irrépressible de sortir de la routine dans laquelle elle était enlisée - presque autant qu'il était amoureux. Lucas l'écoutait parler de sa vie quelque peu morne, et rêvait de lui offrir quelque chose de plus. Il rêvait de lui offrir le goût de la passion, de la fougue difficilement contenue. Il voulait qu'elle se sente vivante et cesse enfin d'avoir l'air enfermée dans un carcan qu'elle ne souhaitait pas. Pendant les quelques mois que dura leur relation, il ne vécut que pour elle. Ne respirait que dans l'optique de sentir son corps frissonner contre le sien, et ses doigts parcourir ses courbes. Lucas était fou amoureux, pris au sein d'une passion dévorante qui le consumait, le grisait, le rendait à la fois heureux et torturé dès qu'elle n'était pas près de lui. Plus le temps passait, moins il pouvait être séparé de Janis trop longtemps, et ils se retrouvaient toujours plus rapidement. Leur liaison fut découverte, elle perdit son travail et coupa les ponts. Lucas abandonna les études, vaines de toute manière, puisqu'elles ne lui serviraient qu'à s'intégrer dans un système aliéné. Naïf puisqu'amoureux, Lucas pensait sincèrement que le licenciement de Janis était une bonne chose. Un évènement positif. Maintenant, ils n'avaient plus à se cacher. Ils pouvaient officialiser leur amour et partir tous les deux, loin de cette ville polluée. Malgré ce que lui apportait Lucas, Janis choisit le confort matériel et le garçon en fut profondément bouleversé, et une plaie béante a pris place dans son coeur, une blessure vive que personne ne semble pouvoir panser. C'est d'ailleurs la raison principale de la venue de la taupe REAGAN GRANT.

Conclusion :

Robert Pattinson

II. Hors-Jeu

Pseudo, Âge : /
Code du réglement : OK by Mandine
Présence sur le forum : Le plus souvent possible.
Comment avez vous découvert le forum : Bazzart.
Avis, suggestions ou autre : Rien à dire pour le moment, c'est très bien !

Bienvenue !

Bienvenue

; Cause we don't need anything else but love, to LIGHT THE WAY. 407251

Ok, Lucas et Saez...Pour citer Monica, "Je crois que je viens d'avoir un léger orgasme."

Lucas, pas Robert rassure moi Marie ? (Parce que le perso est génialement parfait mais Robert... enfin brefte, j'échappe totalement à cette 'mode' )

Tu sais bien que c'est Lucas qui rend Robert parfait. Pas l'inverse.

LUCAAAS Grrrr.
Bienvenuuuue ; Cause we don't need anything else but love, to LIGHT THE WAY. 407251

Comment il faut que je finisse cette fiche. En plus tous les liens de Lucas sont présents, si c'est pas merveilleux !

Oui allez, go go go ; Cause we don't need anything else but love, to LIGHT THE WAY. 163691

J'ai toujours rêvé de fouetter Robert, si c'est pas merveilleux

Invité

LUCAAS.

ANABEL

; Cause we don't need anything else but love, to LIGHT THE WAY. 27720

Mais je t'en prie, Lexie, vas y ^^
J'ai enfin fait le caractère, j'espère que ça ira parce que je suis pas persuadée d'être à la hauteur de ce personnage parfait ; Cause we don't need anything else but love, to LIGHT THE WAY. 729171

; Cause we don't need anything else but love, to LIGHT THE WAY. 729171

Je vais pas tarder à commencer l'observation, héhé.

Invité

J'ai hâte de RP avec toi ; je vois déjà le fun d'ici.

Invité

Bienvenue

Lucas Delaney a écrit:: ANABEL
Mais je t'en prie, Lexie, vas y ^^
J'ai enfin fait le caractère, j'espère que ça ira parce que je suis pas persuadée d'être à la hauteur de ce personnage parfait
Je vais pas tarder à commencer l'observation, héhé.

C'est juste parfait ; Cause we don't need anything else but love, to LIGHT THE WAY. 163253

Merci Reagan I love you

Et merci Aaron, ça me rassure un peu ^^.

Mon chéri (NON pas Robert, juste LUCAS) va être divinement bien joué, j'en suis certaine et ravie ^^

Je crois avoir terminé la première partie. ; Cause we don't need anything else but love, to LIGHT THE WAY. 407251

Merci Aaron ; Cause we don't need anything else but love, to LIGHT THE WAY. 262315

Oh yeah. Parfait.

Un sujet même si c'est carrément inutile et que tu as tout développé comme il le faut.

Citation :: Flashback. Lucas se rend à un concert solo dans un bar un peu moins miteux que ceux qu'il fréquente, dans un quartier new-yorkais plus huppé que celui qu'il habite. Sur le chemin, le hasard fait mal les choses puisqu'il tombe nez à nez avec Janis et son mari sortant d'un taxi, bien apprêtés et prêts à aller au restaurant. Précision : sa liaison avec Janis n'a pas encore pris fin.

Pensées, réactions, actions de Lucas, tout ça, face à Janis et sa vie bien rangée.

C'est très mal écrit, ça manque de précision et d'imagination, mais il est tard (a)

Invité

; Cause we don't need anything else but love, to LIGHT THE WAY. 984292

; Cause we don't need anything else but love, to LIGHT THE WAY. 815890

J'ai mis genre une demie-heure à le trouver. Ce qui explique pourquoi c'est nul.

Je poste mon RP dans l'après midi ou la soirée Janis, promis ! ; Cause we don't need anything else but love, to LIGHT THE WAY. 27720

@ Aaron > Je le trouve super inspirant le sujet, personnellement ; Cause we don't need anything else but love, to LIGHT THE WAY. 984292

Citation :: Flashback. Lucas se rend à un concert solo dans un bar un peu moins miteux que ceux qu'il fréquente, dans un quartier new-yorkais plus huppé que celui qu'il habite. Sur le chemin, le hasard fait mal les choses puisqu'il tombe nez à nez avec Janis et son mari sortant d'un taxi, bien apprêtés et prêts à aller au restaurant. Précision : sa liaison avec Janis n'a pas encore pris fin.

Pensées, réactions, actions de Lucas, tout ça, face à Janis et sa vie bien rangée.

« Madame, je crois que vous avez laissé tomber ça...»

Citation :: Rejoins-moi plus tard à cette adresse. Je t'aime.

Invité

haaaaaaaan I love you

c'est troooop bien

Je laisserai l'honneur à Marie de valider, je sais qu'elle tient à ce perso.

Messages : 193 Date d'inscription : 23/06/2008

Va viiiite répondre à Janis.

» Beverly| Love is not a funny game
» The LOVE BOAT [R. Julian]
» Olivia Jones - Love is not the Answer ? [U.C]