[#] Heart . of . Glass
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 It's time to start the show, wild girl. (Jack)

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AuteurMessage
Zachary Wildon

Zachary Wildon


Messages : 71
Date d'inscription : 01/07/2009

Feuille de personnage
Heart in a Cage :

It's time to start the show, wild girl. (Jack) Empty
MessageSujet: It's time to start the show, wild girl. (Jack)   It's time to start the show, wild girl. (Jack) EmptyMar 28 Juil - 23:22

(C'est archi nul j'ai hooonte It's time to start the show, wild girl. (Jack) 163253 ).

Zachary ouvrit péniblement ses paupières alors que le soleil déclinait dans le ciel. Son deuxième jour sur l’île touchait déjà à sa fin, ne laissant qu’une soirée au garçon pour profiter de quelques instants volés au soleil, fuyant déjà ce côté-ci du globe. Il resta quelques instants vaguement mal réveillé dans ses draps agréables et caressants. Il tourna sa tête vers la droite, et d’un regard brouillé il remarqua sans grand étonnement que Jack n’était pas là. Il attrapa sur la table de chevet à ses côtés, sa paire fétiche de lunettes de soleil qu’il ne quittait pour ainsi dire jamais. Il les revêtit rapidement, et dissimula aux yeux du monde son regard vide et ses yeux cernés ; signes d’une nuit très – trop – courte et agitée. Il repoussa les draps de soie blanche et se redressa. Il passa une main dans ses cheveux, tentant d’émerger totalement. La pudeur n’étant pas de son vocabulaire, il n’hésita pas à sortir de la pièce dans cette même tenue. Zachary rejoignit le spacieux salon, et s’accroupit devant le mini bar. Alors qu’il l’ouvrait ses yeux s’agrandirent de mécontentement. Il se rappelait parfaitement que la veille, une femme de chambre lui avait explicitement exposé que le mini bar était réapprovisionné tous les matins… Or, ce matin-là, il ne l’était pas. Mais c’est là que Zachary se distingue du commun des mortels. Quand les uns iraient se plaindre à l’accueil et exigeraient que les services offerts le soient vraiment, ou qu’un tel oubli se soit produit lors de leur première matinée en ce lieu soit inacceptable… Zachary referma simplement la porte coulissante du minibar et se retourna, après avoir vaguement haussé les épaules. Il s’en fichait. Ceci n’est qu’un détail futile et sans envergure, et à vrai dire, dans quelques minutes, il aurait occulté tout à fait ce problème. Problème qui n’en était pas un pour lui. Il passa sa main sur sa nuque et rejoignit la terrasse, neutre et indolent, comme à son habitude. Comme il l’avait cru un peu plus tôt, le soleil déclinait à présent, au loin, afin d’éclairer de sa lumière une autre partie du monde. Enfin, Zachary se décida à regarder l’heure : il était huit heures du soir ; et il avait drôlement faim. Pourtant, il prit encore le temps de s’arrêter sur le canapé. Il s’allongea sur le dos, occupant l’intégralité de la place et fixant le plafond. Il attrapa dans sa poche un paquet de cigarettes, et en sortit deux. Il en plaça l’une des deux derrière son oreille avant de jeter le paquet sur la table basse en verre, à quelques centimètres à peine de lui. Il l’alluma alors d’un geste rapide et tira une longue bouffée. Il laissa la fumée pénétrer ses poumons lentement, retenant pour quelques instants sa respiration. Il avait toujours adoré les sensations que lui procurait la première cigarette de la journée. Il finit par laisser ressortir de ses lèvres les volutes de fumée, qui dansèrent quelques secondes dans les airs avant de s’atténuer et de ne disparaître à jamais.

Il savait pertinemment qu’il n’avait pas le droit de fumer à l’intérieur des chambres, que cela était formellement interdit. Mais il était ici en vacances, et n’avait aucune envie de se plier aux règles, quelque soit la personne de qui celles-ci venaient. Il avait fait le voyage de Los Angeles à Hawaï, et il comptait donc désormais en profiter. Il ne savait même pas ce qui l’avait poussé à accepter de venir sur cette île : après tout, s’il voulait des vacances, il pouvait largement s’en payer ! Et puis ce concours, il savait qu’il n’y avait pas participé. Il ne jouait jamais aux concours et divers jeux de hasard. Mais, et cela était l’hypothèse la plus probable, quelqu’un avait joué à sa place. Peut-être même une de ces filles folles furieuses qui le poursuivaient souvent. Même si cela le laissait perplexe, c’était la seule conclusion qu’il avait réussi à tirer. Le fait que Jack elle-même est aussi gagné lui prouvait – et cela, il le pensait avec un sourire plein de cynisme dénaturé – que le concours ne devait pas être un modèle d’impartialité. Car la probabilité qu’ils se retrouvent tout deux gagnants du même concours, était si peu probable, que cela en devenait grotesque. Mais cet enchaînement de coïncidences invraisemblables le laissait de marbre ; cela n’avait strictement aucune importance pour lui. Et s’il y repensait en cet instant, c’était bien parce que cela avait tout de même éveillé sa curiosité. Et c’était une des raisons qui l’avait poussé à venir – même si cela restait la moindre. En effet, le principal motif était certainement la présence même de Jack. Et rien d’autre. Et maintenant, il était là, et il ne savait plus trop pourquoi. Mais de cela aussi, il s’en foutait. A leurs arrivées hier, il avait déjà pu repérer plusieurs jeunes femmes qu’il se ferait un plaisir de rencontrer (a). Il avait certes un peu trop bu la nuit dernière, mais avait passé un « bon » moment. Même si ce terme était tout relatif pour le grand fêtard et blasé Zachary. Aucune soirée, fête, rencontre n’avait la chance de se démarquer des autres à moins d’être hautement exceptionnel – comme par exemple, celle où il avait rencontré Jack. Les enchaînements de verres-toujours-remplis, de filles-aux-corps-parfaits-qui-se-déhanchent-à-l’infini, de musique-toujours-trop-forte-et-toujours-plutôt-mauvaise… Zachary en avait connu beaucoup, peut-être trop pour conserver une certaine tolérance envers elles. Mais cela ne l’empêchait pas d’y retourner, encore et encore, et de reproduire inlassablement les mêmes gestes, et donc, les mêmes erreurs… Mais qu’importe – la vie est si courte ! Si l’on passe trop de temps à réfléchir et à peser ses actions, alors la vie est déjà perdue : telle était la philosophie de Zachary. Il était primordial de s’amuser, et de prendre du plaisir – encore et toujours. Et c’était certainement parce qu’il avait prit trop de plaisir hier soir, que son réveil en cette journée – soirée- était si tardif… Il lança un nouveau regard à l’imposante horloge murale : les prémices des vingt et une heures se faisaient sentir.

Il se releva à nouveau, écrasa sa cigarette sur une soucoupe laissée négligemment sur la table basse, et rejoignit la salle de bain. Il retira le seul et unique vêtement qu’il arborait et entra dans la douche, sans aucune autre cérémonie inutile. Le jet d’eau froide s’écrasa sur le sommet de son crâne, puis sur ses épaules, et couru le long de son torse, réveillant chaque parcelle de son corps. Ses cheveux se collèrent à son crâne alors qu’il se réveillait tout à fait désormais. Sa douche fut rapide et il en ressortit aussi vite qu’il y était entré. Il ressortit deux secondes plus tard de sa chambre, vêtu d’un pantalon noir, d’un simple débardeur blanc laissant légèrement entrevoir son torse parfait à travers une subtile transparence. Il passa dans le salon pour rejoindre la porte d’entrée et attrapa au passage sa veste noir. Zachary était le genre de personne qui enfilait la première chose qui lui passait sous la main, et cela restait quand même diablement sexy, élégant et inexcusablement nonchalant. Certains appelleraient ça un don… Et Zachary, à cette idée, se moquerait certainement d’eux. Il saisit son paquet de cigarettes et son zippo qu’il glissa dans sa poche. Alors, il rejoignit la porte.

Il se demandait ce que faisait Jack. En effet, depuis plusieurs jours elle refusait de lui parler. Pour changer. Il ne savait même pas quel faute il avait encore bien pu commettre, et à vrai dire, il ne cherchait plus trop à savoir. Il y a avait trop de raisons qui pourraient la pousser à ne pas lui adresser la parole, alors mieux valait faire profil bas. Encore une fois. Avec une once de jalousie, il se demanda si elle avait déjà rencontrée d’autres mâles… Car oui, Zachary ne se gênait pas pour séduire toute fille qui passait, mais quand Jack le faisait, cela le gênait – même s’il le taisait. Il aurait aimé lui refuser ce qu’il s’autorisait, mais il sentait déjà venir les hurlements stridents et trop colériques de sa compagne de trois années. Il ne l’avait pas aperçu hier soir, alors qu’il était sorti faire la fête, pourtant, il était persuadé qu’elle était sortie elle aussi. Pourquoi une telle certitude ? Parce qu’il la connaissait, et que tous les habitants de Los Angeles eux-mêmes pourraient affirmer cette vérité sans le moindre doute. Jack n’était pas de celle à rester dans sa chambre – leur chambre, en l’occurrence – et faire des mots croisés toute la soirée (a). Mais peu importe, Zachary connaissait le processus ; elle se vengeait de ses exactions. Et bientôt, elle reviendrait, après de nouveaux cris évidements. Pourtant, cette fois-ci, elle n’avait pas beaucoup crié. Enfin, elle s’était écriée avec une force et une constance qui étonnait toujours Zachary, mais cela n’avait été que le départ. Depuis, elle l’ignorait. Et le jeune homme savait qu’elle prenait un malin plaisir à l’ignorer ; et lui, il attendait. Il attendait qu’elle revienne à la raison (ou à la folie justement ? (a)) et lui pardonne à nouveau. Jusqu’à ce qu’une autre blonde au teint pêche le fasse pécher à nouveau. Et à vrai dire, Zachary ne comptait pas se retenir alors qu’il était sur une île, avec de nombreuses jolies filles, ça c’était certain !

Il allait ouvrir la porte afin de quitter sa suite, quand la porte s’ouvrit d’elle-même. Il se retrouva face à Jack qui s’arrêta soudainement en le voyant là. Jack qui l’ignorait si bien depuis plusieurs jours. Il la fixa, d’un regard mi-chien battu cherchant l’absolution, mi-Diable incitant à pêcher par le sex-appeal qu’il dégageait.
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