William P. Carter

Exp. 6.2.6, carnet de bord n°1 ; Les cobayes & taupes. (pp. 01-102)

I. Fiche d'observation

Expérience 6.2.6, Sujet n°47.

Etat Civil :

William Paul Carter, 24 an ; Futur Président des Etats-Unis

Lieu d'Habitation :

Washington DC & les Hamptons.

Principales caractéristiques :

Si l’on devait comparer le jeune William Paul Carter à un personnage de littérature ce serait certainement Mr Edward Hyde, le double maléfique du Docteur Jekyll dont l’étrange affaire a été relatée dans la célèbre nouvelle écrite par Robert Louis Stevenson. Chez le jeune Carter, le mal a en effet gagné haut la main le conflit interne qui tiraille chaque homme devant se décider à œuvrer pour le bien ou le mal. Sans même avoir pris la drogue crée par le docteur Jekyll, le côté le plus sombre qu’un humain puisse avoir s’est révélé être en la personne de William et avoir pris entière possession de lui, le jeune homme n’hésitant pas à répandre sa perversion et à s’adonner à des actes vils et méprisables avec un plaisir sans fin. Profondément mauvais, Carter troisième du nom a tué depuis bien longtemps la part philanthrope qu’il pouvait avoir, mais a-t-il un jour possédé un côté humain ? Rien n’est moins sûr. Le docteur Jekyll n’est donc chez lui que sa façade, une image qu’il a crée de toutes pièces, la peaufinant depuis des années, sa représentation d’un gentleman aux milles manières exquises est proche de la perfection et embobine les jeunes femmes comme trompe les hommes les plus suspicieux. Après tout Will a été élevé depuis toujours dans un monde d’apparences et de faux-semblants, jonché de sourires hypocrites, de bises faussement amicales, de formules de politesse qu’il est coutume de s’échanger entre bonnes familles mais dont on ne pense pas un seul mot. Il n’est donc pas étonnant qu’il soit passé maître en la matière. Surtout avec Monsieur Carter aka son père qu’il admire depuis toujours, pour modèle. Désireux de suivre le chemin de son paternel, mais aussi de le dépasser, d’exceller là où Carter Senior a seulement réussi, William ne prévoit pas seulement son avenir, il le prépare méticuleusement, notamment en s’adonnant à la politique, dans laquelle il baigne depuis son plus jeune âge. Le privilège de naissance mis-à-part, William s’avère être un jeune homme brillant qui n’a eu aucun mal à se voir être major de sa promo et diplômé de la prestigieuse université qu’est Yale. De plus il s’avère avoir un don naturel pour le pouvoir –oui, la nature est bien faîte et a particulièrement gâté William-, en effet, véritable manipulateur, Carter Junior ne se contente pas de se montrer courtois, il sait parfaitement se rendre charmant, et quiconque ayant eu la chance de lui adresser la parole ou de le côtoyer vous dira qu’il est un garçon tout simplement admirable. Il arrive, grâce à son charisme mais aussi à son incroyable talent oratoire, à rallier de parfaits inconnus comme de farouches défendeurs d’une idée, à son opinion propre. Un peu à l’image de Mr Davis dans le film de Sidney Lumet « 12 Angry Men » qui arrive à convaincre onze homme qu’un jeune garçon, que tout accuse d’avoir tué son père, est innocent. Mais les arguments reposant sur des preuves concrètes et les bons sentiments en moins. Car oui, notre homme aurait plus tendance à utiliser l’art du mensonge avec brio, il vous semblera si confiant, sûr de ses propos, que vous ne pourrez que l’écouter et le croire, et ce sentiment se verra renforcer, même malgré vous, lorsqu’il vous glissera un compliment sur vos qualités ou vos mérites au moment qu’il jugera le plus propice avec une sincérité déconcertante. Calculateur, William ne laisse donc rien au hasard. Quoi qu’il décide de faire, le moindre détail se retrouvera prisonnier de son emprise, il n’y a pas de place pour l’erreur ou l’inattendu, il aime se savoir dominer une situation du début à la fin et il n’y a rien de plus jouissif selon lui que d’avoir le contrôle et être le seul maître à bord. Avoir les pleins pouvoirs. C’est pourquoi le jeune homme ne laissera rien ni personne entraver son ascension vers la domination dont il rêve depuis toujours et n’hésitera pas à couler ceux qui se mettent en travers de son chemin, sans se salir les mains et sans que les personnes en question ne sachent un jour qu’il est à l’origine de leur chute sociale malencontreuse, évidemment. Sans une seule once de regret ni remord. Parce que non, Carter n’en a rien à faire de ce que peuvent ressentir ceux à qui il a fait subir du tord. Ou plutôt si, il se délecte de vous savoir malheureux. Il faut le comprendre, le pauvre petit se retrouve lassé de cette vie monotone et sans saveur à tout juste 24 ans. S’il n’a plus le droit de jouer avec vous, que lui reste-t-il ?

Observations :

William se pense incapable d’aimer qui que ce soit. Si ce n’est lui-même. En effet, il s’avère que notre jeune homme exerce un véritable culte du moi. Arrogant, il connait sa valeur et n’hésite pas à le dire haut et fort, tout en restant adroitement subtile, ce qui lui vaut l’approbation de nombre de personne, pour ne pas dire toutes. Mais contrairement aux narcissiques de base, William ne surestime pas ses capacités ou ses qualités, non, elles sont tout simplement réellement supérieures, William ne peut donc que le constater et le faire remarquer. Chose qu’on ne peut lui reprocher. Que ce soit son physique ou sa personnalité, ils font de lui un être si proche de la perfection, un demi-dieu parmi les humbles mortels en quelques sortes, que Carter Junior ne peut être qu’épris d’amour en se regardant dans la glace. Ainsi il ne verrait pas d’inconvénient à ce qu’une statue de sa parfaite petite personne grandeur nature posée devant la Maison Blanche par exemple, lui soit dédiée. Mais bien qu’il croie ne pas avoir été doté de la capacité d’aimer autrui, cela ne l’empêche pas de se servir avec brio de ce sentiment qu’est l’amour pour duper les femmes et arriver à ses fins. En effet, notre homme sait parfaitement jouer le rôle de l’amoureux entiché. Mais là où normalement la passion est censée régner en maîtresse dans cette situation, William est logiquement contrôlé par sa raison. Ainsi le plus spontané des compliments, le cadeau offert sans raison apparente, le baiser donné passionnément… Chacun de ses actes est soigneusement réfléchi. Tout est sous le contrôle de William Carter. Quel but à cette mascarade ? Demandez donc à la belle Callie Davis, si celle-ci arrive à vous répondre entre deux sanglots évidemment. La jeune femme n’a été autre que la victime du petit jeu instauré par le jeune homme et sa demi-sœur Lexie. La seule motivation de notre homme à jouer cette supercherie était de relever un défi qui semblait à priori impossible. Le gout du jeu. Peu importe les dommages collatéraux. Pendant des mois il berça la jolie brune d’illusions, jouant avec elle tel un pantin dont il tira les ficelles avec un plaisir que l’on appelle sadique. Et comme Madame de Tourvel qui tomba dans le piège de Valmont, Callie tomba dans celui de William. Il n’a pas eu une once d’empathie ou de compassion pour la jeune femme qu’il a laissée complètement brisée. William s’en fou royalement et d’ailleurs semble l’avoir oublié depuis longtemps. Mais s’il sait se servir de l’amour et feindre à la perfection d’en être la victime, quand il s’agit de prendre conscience et d’avouer les sentiments réels qui l’animent, cela se révèle être impossible. Rien que d’y penser notre homme a envie de vomir. Et pourtant il ne peut rien contre cela, si ce n’est renier de toutes ses forces ce qui n’est que la réalité de ce qu’il ressent, et serrer les dents en attendant avec une sérénité déconcertante que l’ouragan qui fait rage dans sa tête se calme. Heureusement notre homme ne subit cette torture que pour une seule personne : une beauté sous sa forme la plus pure, délicieusement délicate et raffinée, forte et fragile à la fois. Grace Cornelia Windsor. Sa faiblesse. William ne saurait décrire ce qui prend possession de lui lorsqu’il est en sa compagnie mais sa raison semble l’abandonner. Notre homme est déconcerté, il sent que la belle Windsor lui fait perdre le contrôle de lui-même et cela le fait bouillir de rage. D’autant plus qu’elle le repousse et il ne cesse d’essuyer ses refus malgré ses pénibles efforts à lui plaire. Cet échec autant que son désir de la posséder lui sont atrocement insupportables. Mais avouer une telle chose serait mettre fin à tout ce qu’il a mis tant de temps à construire. Et ce n’est pas envisageable. William ne laissera pas Grace, aussi extraordinaire soit-elle, le rendre faible. Mais il semblerait bien que la chance soit une nouvelle fois de son côté, leurs familles ayant décidé de les unir par un mariage arrangé, Carter Junior n’aura donc pour seule mission de convaincre la famille Windsor qu’il est le bon choix pour leur fille adorée qui, prise au piège des convenances aristocratiques, ne pourra qu’accepter. En attendant notre homme profite de leur situation et prend un malin plaisir à lui faire du tord. Espérant ainsi qu’elle souffre plus que lui n’a mal.

Conclusion :

Ed W.

II. Hors-Jeu
Pseudo, Âge : Inconnue -je dois me cacher, à l’heure où je vous écrit on me recherche certainement (comprendra qui pourra)- ; 18 ans
Code du réglement :

Spoiler:

Présence sur le forum : Le plus souvent possible, disons 6 jours sur 7
Comment avez vous découvert le forum : Par hasard
Avis, suggestions ou autre : Je sais que le personnage de William était réservé à une personne formidable, mais je voulais tenter ma chance, j’espère que vous ne m’en voudrez pas. Je tenais aussi à dire que personne ne m’écoute jamais.

Ta fiche est parfaite William P. Carter 27720

Si on oublie là tout dernière ligne en hors jeu William P. Carter 930836

Non vraiment, t'écris trop bien, tu seras un bon William (a)

Citation :: (Quelques années plus tôt). Depuis qu'il sort avec Callie, William s'est transformé pour elle en cette image ridicule & fausse du Prince Charmant pour lui plaire, la faire céder, lui offrir une image idyllique de l'amour, et tout lui reprendre violemment. L'heure est maintenant venue de cesser cette mascarade. William ne veut pas simplement rompre avec elle, ça non. Il veut la briser. Littéralement. Et lui ôter toute chance d'avoir à nouveau confiance un jour en un garçon. C'est l'heure de la révélation...

Et voilà ton test I love you

si jamais il te convient pas, on peut le changer mais ... William P. Carter 930836

Ca ne me convient pas, tu peux m'inventer un autre test s'il te plait ?

Crève (a) Je t'écoute pas comme le dit ta fiche Rolling Eyes

Non mais dis donc, le test est génial puisqu'il me semble que c'était mon mien. William P. Carter 163691

Ta fiche est juste parfaite, sinon, mais c'est pas une surprise, j'en étais sûûûûûûre William P. Carter 163253

Hâte de poster avec toi William P. Carter 27720

Grace C. Windsor a écrit:: Non mais dis donc, le test est génial puisqu'il me semble que c'était mon mien.

Je suis pour le recyclage William P. Carter 80235

Ah mais c'est notre politique ici, on est écolo (aa)
William P. Carter 407251

Votez Verts.

Je peux te faire plein de coeurs ?

Bon c'est quoi cette propagande sur ma fiche ? (a)

Marie : je vais faire comme si je n'avais rien lu

Oh ta signature, c'est trop chou !

Gniagniagnia.
Tu pourris ma fiche avec tout ton flood !

Ta fiche est géniale William P. Carter 163253

Merci !

William Paul Carter a écrit:: Gniagniagnia.
Tu pourris ma fiche avec tout ton flood !

Ok.

Messages : 45 Date d'inscription : 15/04/2010

Sebastian Wilson a écrit:: Ta fiche est géniale

Forcément, c'est celle d'LAexia (a)
Bienvenuuue William P. Carter 407251

Oui c'est vrai mais bon, il fallait que je le précise I love you

Cara : C'est qui LAexia ? (a)

Je commence le test RP ce soir mais je pense pas le finir avant la fin du week-end. J'ai encore des dossiers à boucler pour la rentrée -__-.

No problemo Very Happy

Je suis fan !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
I love you Babyyyy
Personne ne M'écoute jamais !!

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